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Circuits sur demande >.. vallée d'oudad

Ce sentier vous permettra de découvrir quelques aspects de la vie dans la vallée des Ait Oudad, notamment au sujet de l’agriculture et de l’architecture. Il se parcourt en une journée. Arrêt compris.

Attention ! Evitez de photographier les villageois. Ne distribuez pas de bonbons ou autres objets aux enfants : vous leur apprendriez à mendier !

 Le début du sentier se situe à 50 m devant la kasbah Berrem sous les noyer

BORNE 1 : Gorge de Barrem : des sandales imperméable à recommander.

Départ vers l’amont de oued Oudad, qui trace son itinéraire dans ces immenses gorges  de calcaire « taqqat », des noyer et quelques amandiers, des oiseaux, des rongeurs et peu de reptiles, y trouvent refuge et nourritures, on continu dans l’eau au sens contraire du courant .

Des digues au long de l’oued pour alimenter les ruisseaux des vallées en aval. Des grottes façonnées par les grandes crues millénaires sont utilisées comme bergerie  pour ovins et Bovins même le berger prend place dedans.

Sortant des gorges, on prend le setier vers la vallée de Flilou.

BORNE 2 : Vallée de Flilou :

Les cultures sont disposées en terrasses, alimentées en eau par des canaux d’irrigation. Les seguias. Dérivant l’eau de l’oued en amont.

La distribution d’eau et minutieusement organisée en «  tours d’eau ». dans la vallée de Flilou, on cultive surtout le blé, l’orge, le maïs, la pomme de terre, le navet, l’ognon, la luzerne. On alterne les cultures de ces différentes plantes. Quelques jardins potagers ont fait leur apparition ces dernières années. Des arbres fruitiers sont aussi cultivés.

                 La fertilité du sol est maintenue par la rotation des cultures et par un apport régulier de fumier amené des étables et des bergeries à dos de mule : Agriculture et élevage sont complémentaire et indissociables.

                 Remarquez la disposition des maisons, toutes situées en bordures des cultures. Au pied de la montagne : elles demeurent ainsi hors d’attente d’éventuelles crues et surtout le terrain cultivable reste totalement disponible, cette disposition est caractéristique des pays méditerranéennes de montagne, ou la terre cultivable est rare et précieuse.

                Descendre le sentier vers l’oued, longer l’oued vers l’amont, rive gauche jusqu’à Tatiouine.

BORNE 2 : ksar Tatiouine

                Devant vous, rive gauche de l’oued se trouve une construction semi ruinée le ksar de Tatiouine.

                 Ce bâtiment à été édifié par les habitants de Tatiouine des semi transhumants, construction fortifiée, haute, des tours d’angle avec des meurtrières, il compte souvent jusqu’à quatre niveaux on y trouve des étables, des pièces d’habitation. Des réserves. Un escalier permet l’accès à la terrasse qui est à la fois un lieu de séjour et l’endroit ou on fait sécher les récoltes.

 Le ksar était liée à l’existence d’une famille ou plusieurs élargies : les jeunes hommes se marient restent dans le ksar, les habitants était puissants par le nombre des membres de chaque famille. Par son influence. Sa force de travail et sa force défensive. Actuellement, le ksar n’a plus de raison d’être, car de jeunes couples préfèrent construire leur maison.

La « Tighremt » plus basse, celle-ci est modulable quand la famille et les besoins augmentent. On rajoute facilement des pièces.

 L’ARCHITECTURE  DU KSAR :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Trois types de matériaux sont utilisés pour la construction d’une maison traditionnelle.

1.      la pierre est employée pour les soubassements « fondation » et les murs extérieurs de protection exposés aux intempéries (vent, pluie) à l’ouest.

2.      la terre est utilisée sous 3 formes :

·        le pisé : terre battue compactée au pilon dans un coffrage de bois. Constitue l’essentiel des murs sur lesquels on applique souvent un enduit de terre et de paille.

·         L’adobe : brique rudimentaire de terre mêlée de paille puis séchée au soleil. Utilisé surtout pour les rajouts, ainsi que dans les parties hautes et les décores.

·        La terre (généralement argileuse pour l’imperméabilité) recouvrant les terrasses est simplement damée.

3.      Le bois (ici, surtout du peuplier) est employé sous forme de poutre et de perches, pour les charpentes. Enfin, des broussailles et des branchages soutiennent la terre de la terrasse, une dépression permet l’évacuation de l’eau jusqu’à une grosse branche creusée en gouttière la neige est très rapidement évacuée du toit par les habitants de la maison, raison des infiltration

DÉJEUNER

BORNE  4 : Tissaouit sidi hamza

             Par 2 cols à une altitude moyenne nous atteignons le village de Tissaouit sidi hamza pareil comme flilou, c’est un village berbère dans une vallée encaissée, possibilité de voir les nomades, dans des grandes tentes caïd ale, cet mode de vie leur permet de se déplacer pour le pâturage et l’eau indispensables à leurs troupeaux.

Départ à l’hôtel en 4x4.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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